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There are testaments from the 16th century preserved in Kremnica state archive. They are written in Latin, German and in one sample also in Slovak language. Last wills prepared a man for a death in spiritual and secular (division of property) way. Testaments eliminated conflict between secular property and desire for an eternal life. Formally testaments consist of several parts – invocation, intitulation, profession of faith, passages about human mortality, composing of the last will and redress of sins, heritages of property, confirmation, corroborating and date formulas. The content of the testaments is an important historical source for economic, law, culture, regional history and also history of material culture and everyday life.
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The aim of the author was to outline the development of the Slovak order education system on the example of three Czechoslovak order real gymnasia in Košice in the third decennium of the 20th century. It resulted in a picture of the studied gymnasia in the years 1935 – 1938. An absence of archival materials constituted a limitation to the research and processing of its results.
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This paper describes the political and other influences on the foundation of the University of Košice in 1657. The surprising hesitation of the Hungarian king Leopold I and the Jesuits in Vienna in particular leads to some probable interpretations. The contemporary speculations within the Austrian Society of Jesus regarding the partition of the province in two parts and establishment of an autonomous Hungarian province are in the centre of attention.
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The article presents the program of sexual education prepared and offered by Krakow Branch of the Planned Parenthood Association in the wider context of socio-political situation in Krakow (1956 – 1989). Since the beginning of the Association’s existence, the special attention was paid to the development of educational program, which concerned the different aspects of „family life“. The article is going to answer the questions about its goals, the educational tools used to achieve them and its social targets. To accurately determine the position of the Association in the city‘s community I will analyse its foundation and activities in wider context of the pre-war traditions of the organisation and the activities regarding premarital counselling undertaken by the Krakow Catholic Church.
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The study deals with suburban churches and hospitals in medieval Košice. Author evaluates historiography published on this topic and presents results of detailed research of town books and tax registers. The aim of contribution consists of characterizing of the development, i.e. origins and cessation of the buildings, their approximate geographical location as well as the position in the church administration of Košice. The existence of three churches and two hospitals surrounding the walled town has been proved by the research. The main and also the oldest hospital with a church had patrocinium of the Holy Spirit. It laid in front of the Lower Gate on south. As the second one, the church of St. Ladislaus was erected in the northern suburb. The last such objects built here in the Middle Ages were leprosarium and church of St. Leonard on the west side. In addition to this, there was constructed one more church in the town´s cadaster, staying in the village of Košická Nová Ves.
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Till now, the modern period of the Kraków Dominican Convent was not searched and describe well. Also, in Europe one can find limited number of the Dominican Convent education system information and the convents history studies using prosopographic approach were rather exceptional. That’s way in this paper sources on the history of the dominican studium generale will be exemined. Search querry in cracow archives shows a great variety of important aspects connected with dominican education. For exemaple friars mobility during 16th – 17th centuries, linkages with the university intellectualists, culture transfer between the middle class society and the monastic one.
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Report from the scientific symposium Mary, Mother of God, in theology and Christian art, Stadniki, May 6th, 2021
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Au xviiie siècle, des peintres ukrainiens et serbes formés à l’école d’art de la Laure de Kyïv-Petchersk ont inauguré le processus de changement de la peinture religieuse serbe qui, dans la région administrée par le siège métropolitain de Karlovci, est passée d’un style ‘traditionnel’ (ou ‘manière post-byzantine’) à un style plus ‘occidental’ (‘baroque’). À première vue, il pourrait sembler inhabituel que les influences occidentales décisives pour la peinture serbe du xviiie siècle ne soient pas arrivées directement de l’Occident – à savoir de Vienne, l’un des principaux centres de l’art baroque européen et capitale de l’empire dont le territoire englobait le métropolitain de Karlovci -, mais de l’espace artistique ukrainien, déjà ‘occidentalisé’ par les courants venus de la Laure de Kyïv-Petchersk. Vers le milieu du xviiie siècle, cette Laure de Kyïv-Petchersk et son Académie de théologie étaient devenus des soutiens religieux solides et fiables pour l’Orthodoxie, sous la protection politique du tsar de Russie, et promouvaient la science théologique, peut-être la plus forte de la sphère orthodoxe de l’époque. En conséquence, l’Académie de théologie de Kyïv avait commencé à occuper une place de plus en plus importante dans la topographie chrétienne de l’Europe de l’Est. Cette école accueillait des étudiants de toute l’Ukraine et de la Russie, mais aussi des Biélorusses, des Polonais, des Lituaniens et des Serbes. Au xviiie siècle, sur une période de trente ans, 28 Serbes ont reçu une éducation à l’Académie de théologie de Kyïv. De même, au milieu du xviiie siècle, des missionnaires de Kiev rejoignent la communauté de Karlovci, sur invitation des dignitaires de l’Église serbe, en apportent avec eux une aide spirituelle indispensable. L’arrivée dans la commu-nauté de Karlovci des premiers enseignants, peintres, livres et icônes en provenance de Kiev, est marquée aussi par l’arrivée de certains modèles politiques russes. Dans les rangs des intellectuels, plusieurs peintres serbes ont été formés à Kyïv, dont les principaux représentants de la première vague d’européanisation dans la peinture serbe: Dimitrije Bačević et Stefan Tenecki. Le moment décisif pour l’ouverture de la peinture serbe à la peinture kyïvienne occidentalisée s’est produit grâce à l’initiative du patriarche Arsenije iv Jovanović Šakabenta (1725-1748). En effet, en 1743, ce patriarche avait officiellement interdit, dans une lettre circulaire, le travail de tous les soi-disant peintres d’icônes inexpérimentés et non éduqués qui travaillaient à l’ancienne. C’est à cette époque qu’il avait fait appelé à sa cour l’Ukrainien Jov Vasilijevič (vers 1700-après 1760), un maître qui allait donner une nouvelle forme aux courants de l’art serbe. La lettre mentionnée du patriarche Šakabenta indique que les peintres serbes de Karlovci pouvaient apprendre le métier auprès de son peintre de cour autour duquel, semblerait-il, s’était formé la première école de peinture jamais fondée dans le milieu culturel serbe. À travers cette école, le maître Jov Vasilijevič et ses collaborateurs allaient exercer une influence décisive sur toute la génération des peintres (civiques) serbes – ainsi qu’en témoigne l’abandon de l’ancienne manière. L’in-fluence culturelle et artistique ukrainienne dans le siège métropolitain de Karlovci a perduré des années 1720 aux années 1760. Durant cette période, tous les éléments occidentaux ont, sans doute, dû être soumis à la super-vision des théologiens orthodoxes orientaux de Kyïv. Dans la seconde moitié du xviiie siècle, plus précisément à partir de la huitième décennie, les liens culturels et spirituels ukrainiens-serbes ont commencé à s’affaiblir en raison du déclin des liens politiques russes-serbes. Avec le déclin de la sphère artistique de Kyïv, les modèles artistiques et culturels en provenance directe de Vienne se sont alors renforcés. À partir de cette époque, c’est l’Académie de Vienne qui était destinée à former les peintres serbes, apportant dans leur pays des éléments occidentaux et le style de la peinture autrichienne.
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Le Musée Ethnographique de Budapest conserve une icône en mauvais état qui provient de Patakófalu (Stara Stuzhytsya), plus précisément de l’éparchie de Moukatchevo. Sur l’une des faces se trouve une repré-sentation Éléousa de la Mère de Dieu, un type iconographique qui était extrêmement populaire dans le sud de la Pologne – de même qu’en Hongrie – à partir du dernier quart du xviie siècle. Certaines icônes appartenant à ce type étaient même considérées comme étant miraculeuses. Associée à une certaine signification, la Mère de Dieu était peinte pour demander la protection contre le danger et les souffrances futures. Sur l’autre face de l’icône se trouve une scène de la Crucifixion avec des personnages demandant l’intercession, dont un homme portant le costume d’un noble et sa famille. L’inscription votive en ruthène a été transcrite sur le fond de la scène. La signature du peintre permet d’identifier Stefan Wiszeński de Sądowa Wisznia. Dans le présent arti-cle, une photographie conservée au Musée National de Lviv, ainsi que des urbaria, permettent de déchiffrer l’inscription et de comprendre les circonstances de la commande.
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Au cours de la première moitié du xviiie siècle, les réformes de l’Église Orthodoxe Serbe de Hongrie se reflètent aussi dans la peinture des églises. L’établissement de liens étroits avec le Patriarcat de Moscou et la Laure des Grottes de Kyïv-Petchersk a augmenté l’influence russo-ukrainienne dans le siège métropolitain de Karlovci. On constate un éloignement de plus en plus prononcé face à l’iconographie traditionnelle et une ac-ceptation des reformes connues dans la peinture baroque ukrainienne. Le moment décisif est représenté par l’arrivée du peintre ukrainien Jov Vasilijevič en 1742. Avec le soutien du patriarche Arsenije iv, Vasilijevič fonde une école de peinture à Sremski Karlovci. Par décision du patriarche, cette école devient obligatoire pour tous les peintres d’icônes du siège métropolitain. Un décret scelle l’entrée des nouvelles modes d’expression artis-tique dans l’art ecclésiastique. Jov Vasilijevič exécute plusieurs oeuvres importantes. Il peint les iconostases des monastères de Krušedol et Bodjani; il réalise des peintures pour le patriarche; il forme plusieurs élèves qui con-tinueront à répandre cette influence de la peinture baroque ukrainienne. L’article se propose d’étudier ce style de peinture, devenu une véritable norme dans l’art religieux du siège métropolitain de Karlovci dans les années 1740-1770.
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Cette publication examine quatre icônes, qui peuvent être comparées à la production artistique d’un atelier de peinture d’icônes conventionnellement nommé « Belz-Drohobych ». Cet atelier de la Galice ukrainienne – dont la localisation géographique demeure toutefois difficile à établir – se démarque par son style artistique particulier: un ‘laconisme’ graphique rigoureux, à la fois imagier et décoratif. Ses oeuvres les plus représentatives proviennent de la ville de Belz et de la ville de Drohobych, des villages de Hrushiv et Kulchytsi (région de Lviv). Les icônes ici étudiées proviennent, en revanche, du territoire de la région roumaine de Mara-mureș. Il s’agit des icônes de Sainte Paraskevi et de l’Archange Michel du village de Budești-Susani, de l’icône de Saint Jean-Baptiste du village de Breb, et de celle de Sainte Paraskevi (probablement du Maramureș), réalisée par un certain Maître Toma. Pour la première fois, toutes ces oeuvres sont actuellement en cours de restauration. Un bref état de l’art de la recherche les concernant précède l’analyse comparative proprement-dite. Ce qui ressort de cette analyse c’est que, sur la base de l’iconographie et de la stylistique, les quatre icônes du Maramureș s’avè-rent assez proches des icônes de « Belz-Drohobych ». Cela permet de proposer une datation des icônes de Sainte Paraskevi et de Saint Jean Prodrome dans la seconde moitié du xve siècle. En ce qui concerne l’icône de l’Archange Michel, les auteurs proposent une datation au xvie siècle. Cependant, l’icône nécessiterait une étude ultérieure après sa restauration. Enfin, l’icône de Sainte Paraskevi, réalisée par Maître Toma, semble bien s’inspirer des oeuvres de l’atelier « Belz-Drohobych », mais d’un point de vue stylistique, elle se réfère à une période ultérieure: fin du xvie siècle-début du xviie siècle.
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‘After preaching, they feasted quite lavishly every day, they chose new lovers almost every night, they spent their time without being subjected to anyone, without worries, without fatigue, without danger’. In his Super Apocalypsim, the Cistercian monk Geoffrey of Auxerre describes in this way two Waldensian lady preachers, delineating an extraordinary condition of female autonomy. The article explores the ‘textual phy-siognomy’ of Super Apocalypsim, a biblical commentary written in the second half of the 1180s, but also high-lights its historical and editorial context. The testimony of Geoffrey of Auxerre, a leading representative of ecclesiastical hierarchies, allows us to analyse lexical choices and conceptual nuclei in order to clarify the speci-fic polemics underlying this description of the subversive life of an order which is represented by the two Waldensian women and the manner in which they experience female freedom. Emphasis is given to the issue of a dangerous ‘upside-down world’ (mundus reversus et perversus); this witnesses the subversive experience of the two Waldensian women. The article also recognises possible surviving traces of a radical evangelism and the attempt to create a new world (mundus novus).
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Articolul analizează imaginea toiagului înflorit în trei vieți ale Sfintei Audrey (sau Etheldreda de la Ely): una în franceză veche și două în engleză mijlocie, precum și în alte texte devoționale. Studiul arată cum, dincolo de cuvinte, imaginile sunt transferate dintr-o limbă într-alta în timpul procesului de traducere. Imaginile vehiculate de texte determină alegerea cuvintelor în traducere. Analiza se bazează pe două extrase în limba engleză medie. Primul este dintr-o ediție inedită a vieții în proză a Sfintei Audrey, acum într-un manuscris de la Corpus Christi College, Oxford, iar cealaltă din viața în proză din manuscrisul Additional 2604 de la Biblioteca Universității Cambridge, un text scris pentru o membră a unei comunități monahale feminine. Textul în franceză veche este preluat din poemul din secolul al XII-lea La vie seinte Audree, nonneyne de Ely, compus de o autoare pe nume Marie — fie Marie de France, celebra poetesă, fie o călugăriță anglo-normandă cu același prenume. Acestor texte li se adaugă alte exemple preluate din surse latine pentru a demonstra interoperabilitatea imaginii toiagului înflorit în literatura medievală.
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Ajunsă în stare de ruină, biserica Mântuitorului de la Berestovo a fost restaurată între 1643–1644 de mitropolitul Petru Movilă al Kievului, cu intenția de a-l comemora pe prințul Volodymyr, sfânt și egal cu apostolii, cel prin care a fost botezată Rusia kieviană. Pictura murală și inscripțiile reflectă ideea transformării Kievului într-un oraș sfânt, un nou Ierusalim și, în același timp, indică succesiunea neîntreruptă a autorității mitropolitane stabilită de prințul Volodymyr. Această decorație murală realizată în secolul al XVII-lea urmează programe iconografice mult mai vechi, asemănându-se cu cele din vremea Renașterii macedonene. Tabloul votiv îi înfățișează pe Născătoarea de Dumnezeu, pe prințul Volodymyr și pe Petru Movilă stând înaintea lui Hristos, Movilă fiind cel care îi prezintă Mântuitorului macheta bisericii restaurate. O analiză comparată permite afirmația că noua pictură a bisericii Mântuitorului a avut ca model ansamblul monumental al bisericii Sfânta Sofia din Kiev, datând din secolul al XI-lea. Puternica insistență asupra temei Încarnării, tipică polemicilor post-iconoclaste, a fost inspirată de imaginea în mozaic a Maicii Domnului Orantă din catedrala Sfânta Sofia și de inscripția care o însoțește și care reproduce versetul 6 al Psalmului 45. Imaginarea Kievului ca Nou Ierusalim și punerea lui sub protecția Maicii Domnului au fost gândite de Petru Movilă ca pietre de temelie ale efortului său de reactivare a Mitropoliei Kievului.
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Plecând de la o scenă reprezentând Corabia creştinătăţii atacată de duşmanii credinţei, pictată în pridvorul bisericii din cimitirul mănăstirii Hurezi (1699), articolul urmăreşte dezvoltarea temei teologice şi iconografice a Bisericii ca Navă şi cercetează sursele pentru această reprezentare din biserica amintită. În scrierile patristice şi în iconografia bizantină şi medievală occidentală, tema ia forme specific confesionale (arca Petri sau barca Petri, în mediul catolic). În secolul al XVI-lea, pe fondul conflictului confesional catolico-protestant, polemicile încep să dea naştere unor imagini satirice ale unor lupte între două vase pe mare, ilustrând alegoric înfruntările dintre cele două puncte de vedere. Exprimate plastic prin tehnica gravurii, aceste imagini sunt o creaţie a mediului protestant german. În timp ce Contrareforma continuă să folosească motivul alegoric al vasului navigând pe mare ca reprezentare a Bisericii Catolice triumfătoare, mediul protestant dezvoltă o iconografie a Bisericii ca navă asediată pe mare de diverse categorii de duşmani: biserica papală, ereziarhi, evrei şi musulmani, personaje infame ale Apocalipsei. Tipărituri cu astfel de reprezentări ajung şi în estul Europei, inclusiv în mediul Lavrei Pecherska din Kyiv, care folosea surse vizuale germane pentru atelierul său de litografie. Pictorii, gravorii şi desenatorii ucraineni din a doua jumătate a secolului al XVII-lea preiau acest motiv, îl instrumetalizează ca alegorie a Bisericii Ortodoxe asediate şi îl exportă în spaţiile învecinate, în Valahia şi Rusia. Motivul pătrunde în paralel, tot la jumătatea secolului al XVII-lea, şi în lumea grecească, pe canale catolice. Mediul grecesc al Muntelui Athos, prin Nicodim Haghioritul, îl va include ca ilustraţie a Pidalionului (culegere de canoane), la sfârşitul secolului al XVIII-lea.
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The centuries–old model of the Church as a community of lay people and clerics who inspire and guide them was entering a functional crisis. In the era of revolutions and liberalism, the laity found itself in a new, contradictory position: at the same time, they are believers loyal to the Church and citizens loyal to secular society. Looking for a way out of the crisis, the Church relied on the democratic capacity of the laity, who promoted Christian values with their social presence, but also fought for the Church’s political rights. The organized Catholic laity had a specific role: to form, culturally and morally, the lay classes. The prehistory of the creation of the Catholic lay movement (Catholic Action) gives insights into the complexity of societies in the second half of the 19th, and the beginning of the 20th century, but also the high level of inventiveness of both the laity and the hierarchy in activating the laity, which will turn out to be an epoch–making success of the Church of the 20th century.
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Les grands professeurs restent toujours parmi nous. Leur esprit et leur mémoire continuent de nourrir ceux de leurs disciples ; leurs livres prolongent des dialogues alimentés pendant toute une vie. Madame Cătălina Velculescu a été l'un de ces professeurs qui ont marqué plusieurs générations d’étudiants, non seulement par le professionnalisme de son enseignement, mais aussi par son modèle humain. Sa générosité, son dévouement envers ses disciples et sa recherche, sa capacité à fédérer les gens et les idées, sa foi en l’homme, la vie et la parole écrite s’alignent aux valeurs transmises par les textes de la culture roumaine ancienne – culture sur laquelle Cătălina Velculescu s’est penchée durant toute sa carrière et à laquelle sont consacrés ses derniers livres-testament.
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